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S’il existe un endroit incon - tournable. dans
la région pour les chineurs, les brocanteurs et autres amateurs
d’antiquités, c’est bien du magasin d’orient
de Francine Constant qu’il s’agit. Et encore plus lorsqu’on
est passionné de meubles et d’objets provenant d’Afrique
et d’Asie. Ceux qui pénètrent dans la “boutique”’
effectuent alors un véritable voyage en direction des 2 continents.
C’est dans le petit village de Frauenberg qu’existe cet
éden de l’antiquaire, où les mots chaleur et convivialité
font encore recette. L’arrivée à Sarreguemines. La mort du papa allait précipiter le retour de la famille en Moselle. |
Francine arrive donc à .Sarreguernines à l’âge de 12 ans. Elle intègre alors le pensionnat, va au collège et, pour finir, rentre à l’école d’infirmière de Metz. A cette époque, elle ambitionne de devenir puéricultrice. Désireuse de s’occuper des enfants malades, elle se rend très vite compte qu’elle n’est pas faite pour ce métier, la souffrance des enfants lui étant trop insupportable “j ‘avais 17,5 ans et c’était trop dur de les voir souffrir”. Un an plus tard, elle décide de quitter l’école d’infirmières et donne une nouvelle orientation à sa carrière professionnelle. Réorientation.
Elle décide alors de changer radicalement de métier et
devient secrétaire au sein de l’entreprise de transports
Hellminger. |
A présent retraité,
il a effectué une grande partie de sa carrière au lycée
technique Nominé. 1965 correspond à l’année
du mariage de Francine et Michel qui ont deux fils, Pascal et Fabrice,
et deux petites-filles, Mathilde et Julie.
Frauenberg. Mme Constant cesse alors de travailler et se consacre à l’éducation de ses deux fils. Le couple décide de s’installer à Frauenberg, en 1971. Il jette son dévolu sur une maison en ruines “quand nous l’avons acheté, c’était immonde. Nous avons commencé ‘à la retaper”. Une expérience dans la séri- graphie. Mme Constant a d’abord ouvert une imprimerie en sérigraphie : “on travaillait de nombreuses heures par jour. On avait acheté tout le matériel d’imprimerie, un banc de reproduction, il y a encore des taches d’encre sur le plancher”. L’imprimerie crée alors des logos, des autocollants pour les associations, les collectivités locales. Puis, au bout de 8 années d’activités, jusqu’en 1980, Francine Constant décide de passer à autre chose. G.D.O. était en marche... Nicolas Leclercq |
Francine Constant a fait de sa |
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